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jeudi 10 mai 2018

365 Jours de Réflexions Positives - Jour 130 - Aristote

Coucou les motivés,

Voici la phrase du Jour 130 :

"Le Bonheur est à ceux qui se suffisent à eux-mêmes" Aristote



Saviez-vous que :

Aristote ( - ), est un philosophe grec de l'Antiquité. Avec Platon, dont il fut le disciple à l'Académie, il est l'un des penseurs les plus influents que le monde ait connus. Il est aussi l'un des rares à avoir abordé presque tous les domaines de connaissance de son temps : biologie, physique, métaphysique, logique, poétique, politique, rhétorique et de façon ponctuelle l'économie. Chez Aristote, la philosophie est comprise dans un sens plus large : elle est à la fois recherche du savoir pour lui-même, interrogation sur le monde et science des sciences.
La science comprend pour lui trois grands domaines : la science spéculative ou théorique, la science pratique et la science productive. La science spéculative constitue la meilleure utilisation que l'homme puisse faire de son temps libre. Elle est composée de la « philosophie première » ou métaphysique, de la mathématique et de la physique, appelée aussi philosophie naturelle. La science pratique tournée vers l'action (praxis) est le domaine de la politique et de l'éthique. La science productive couvre le domaine de la technique et de la production de quelque chose d'extérieur à l'homme. Entrent dans son champ l'agriculture, mais aussi la poésie, la rhétorique et, de façon générale, tout ce qui est fait par l'homme. La logique, quant à elle, n'est pas considérée par Aristote comme une science, mais comme l'instrument qui permet de faire progresser les sciences. Exposée dans un ouvrage intitulé Organon, elle repose sur deux concepts centraux : le syllogisme, qui marquera fortement la scolastique, et les catégories (qu'est-ce ? où est-ce ? quand est-ce ? combien ? etc.).
La nature (Phusis) tient une place importante dans la philosophie d'Aristote. Selon lui, les matières naturelles possèdent en elles-mêmes un principe de mouvement (en telos echeïn). Par suite, la physique est consacrée à l'étude des mouvements naturels provoqués par les principes propres de la matière. Au-delà, pour sa métaphysique, le dieu des philosophes est le premier moteur, celui qui met en mouvement le monde sans être lui-même mû. De même, tous les vivants ont une âme, mais celle-ci a diverses fonctions. Les plantes ont seulement une âme animée d'une fonction végétative, celle des animaux possède à la fois une fonction végétative et sensitive, celle des hommes est dotée en plus d'une fonction intellectuelle.
La vertu éthique, selon Aristote, est en équilibre entre deux excès. Ainsi, un homme courageux ne doit être ni téméraire, ni couard. Il en découle que l'éthique aristotélicienne est très marquée par les notions de mesure et de phronêsis (en français prudence ou sagacité). Son éthique, tout comme sa politique et son économie, est tournée vers la recherche du Bien. Aristote, dans ce domaine, a profondément influencé les penseurs des générations suivantes. En lien avec son naturalisme, le Stagirite considère la cité comme une entité naturelle qui ne peut perdurer sans justice et sans amitié (philia).
À sa mort, sa pensée connaît plusieurs siècles d'oubli. Il faut attendre la fin de l'antiquité pour qu'il revienne au premier rang. Depuis la fin de l'Empire romain et jusqu'à sa redécouverte au xiie siècle, l'Occident , à la différence de l'Empire byzantin et du monde musulman, n'a qu'un accès limité à son œuvre. À partir de sa redécouverte, la pensée d'Aristote influence fortement la philosophie et la théologie de l'Occident durant les quatre à cinq siècles suivants non sans créer des tensions avec la pensée d'Augustin d'Hippone. Associée au développement des universités, qui débute au xiie siècle, elle marque profondément la scolastique et, par l'intermédiaire de l’œuvre de Thomas d'Aquin, le christianisme dans sa version catholique.
Au xviie siècle, la percée de l'astronomie scientifique avec Galilée puis Newton discrédite le géocentrisme. Il s'ensuit un profond recul de la pensée aristotélicienne dans tout ce qui touche à la science. Sa logique, l'instrument de la science aristotélicienne, est également critiquée à la même époque par Francis Bacon. Cette critique se poursuit aux xixe siècle et xxe siècle où Frege, Russell et Dewey retravaillent en profondeur et généralisent la syllogistique. Au xixe siècle, sa philosophie connaît un regain d'intérêt. Elle est étudiée et commentée entre autres par Schelling et Ravaisson, puis Heidegger, ainsi qu'à sa suite par Leo Strauss et Hannah Arendt, deux philosophes considérés par Kelvin Knight comme des néo-aristotéliciens « pratiques ». Plus de 2 300 ans après sa mort, sa pensée demeure toujours étudiée et commentée par la philosophie occidentale.
Et vous ? Est-ce que vous pouvez trouver du Bonheur dans le fait de vous suffirent à vous-même ?
N'hésitez pas à lindiquer en commentaire.
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Soyez positif, soyez optimiste, souriez à la vie et surtout restez motivé !
Bisous, bisous

Marie Motivation



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